S.Z. :
Oh la la
Dur quand même de regarder ce genre de conneries un mardi fin de journée... C'est vraiment nul de chez nul.
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A.N. :
C'est une honte, une telle intolérance !
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R.H.-V. :
Ce type de mailing touche l’indécence.
Merci de supprimer notre adresse électronique que vous avez obtenue on ne sait par quel intermédiaire douteux.
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F.D. :
Ça me fait moyennement rire votre truc...
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M.P. :
Merci de me laisser en dehors de vos opinions que j'estime racistes.
Merci également de ne pas me répondre pour tenter de me convaincre.
Bien à vous,
M.P.
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G.F. :
MANIFESTEMENT DÉBILE ! 20 millions de juifs sur 7 milliards de goys, c’est trop : tu vas pas encore recommencer comme en 40 ?
RÉPONSE :
On lit ce qu’on craint de lire : le phénomène est optiquement bien connu. Et généralement incurable. Mais pas toujours.
Plus tard :
Exactement : on lit ce qu’on craint de lire, c’est bien ce que je te reproche. Et c’est effectivement incurable ! Que tu y trouves du plaisir, c’est malheureusement pour toi terriblement inquiétant !
RÉPONSE :
On ne fait pas d’omelette sans casser des œufs, et l’omelette post-paranoïaque que la manif tente de concocter vaut bien quelques œufs cassés...d’autant que les 100% pedigree juif garanti qui applaudissent commencent à affluer déjà...
Il faut VISITER tout le site et pas surfer sur l’impression personnelle que donne les premières lignes... C’est pas le pub, c’est de l’art politique, que diable!
Plus tard :
Je ne comprend toujours quel genre d’omelette tu veux faire !?
Gérald
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F.G. :
Très drôle ! Combien de pogroms goys ? Combien de nuits de cristal goy ? Combien de nuit des poètes goys assassinés ?
RÉPONSE :
Depuis la nuit des temps et au total? Certainement beaucoup plus. Mais votre réaction confirme mes craintes : il s’agit d’une affaire de compétition. Triste époque
Plus tard :
Je dois manquer d’humour sur ce sujet. Question de génération ? Compétition ??? Je veux bien vous offrir « D’un pays sans amour » de Gilles Rozier que je viens de lire.
http://www.espritsnomades.com/sitelitterature/markish/markish.html
Peretz Markish
Le poète assassiné et toujours son cri dans la nuit
« Mère, nous arrivons d’un pays sans amour
D’un pays où Dieu est absent.
Déluge en tête et crépuscule dans le sang.
La terre obscure est une planète aveugle,
Malheur à elle qui s’étend si noire
Sous les pieds et sous les maisons ! » (Grinberg)
Victime des ultimes fureurs antisémites du stalinisme finissant, Peretz Markish fut condamné à mort le 18 juillet 1952 et exécuté dans la prison de Lubyanka le 12 août 1952.
Une balle dans la nuque pour ce poète célèbre, coupable de «nationalisme juif», comme unique viatique! Il était l'un des plus grands poètes russes, bien qu'il ait choisi de se consacrer à la langue yiddish. Il était générosité et révolte. L'équivalent d'un Vladimir Maïakovski pour sa force et son modernisme, sa rage de vivre aussi. Markish écrivit de nombreux poèmes et pièces de théâtre, ainsi que plusieurs romans.
Poète de la fureur et de la volonté fervente de vouloir changer le monde, il est aussi celui de l'affliction et du tragique face aux pogroms et à la mise en place de l'antisémitisme délirant soviétique.