Pourquoi suis-je là, Moi Maurice Boyikasse Buafomo, de profession Conteur Médiologue et Professeur de Lingala, dans cette blanche aventure du subconscient belge, d’une négritude restauration de l’inconscient congolais et d’une humaine et parallèle contradiction du conscient ?

Pourquoi être là, Moi M.B.B. ou Aimé Bé-Bé un congolais d’origine belge comme Léopold II, un belge d’origine congolaise comme moi-même mais aussi, toujours dans le même axe, le même contexte, c’est l’efficacité pragmatique qui cause ici, l’ancien réfugié politique, l’actuel européen de culture négro-africaine et l’africain de culture judéo-chrétienne, dans ce mouvement dénommé collectivement « Manifestement » et une oeuvre d’art qui comme cri de rage  s’est donné ce prénom,

« Pour le rattachement de la Belgique au Congo » ?

Pourquoi Moi, cet inconnu pour moi-même et pour l’autre le connu, l’onu, plonge-je mes cinq sens, mon ouïe ou mon pouce, ma vue et mon index, mon odorat ou ma majeure, mon goût ou mon annulaire, mon toucher et mon auriculaire, dans cette fange sans lobi ni lobi, ni passé ni futur, exclusivement fait de Fan(S) et Ge(]je), donc du LELO, du présent, même pas du hic et nunc,

Un présent manifeste car TOTALENT BURLESQUE et  SAVAMMENT pittoresque,

UN RIEN Romanesque car l’Exos et l’Esos y jouent à qui perd gagne,

mais tellement pedantesque dans ses buts qui sont des moyens,

tellement pédestres  dans ses methodes qui sont des causes,

que pour ne pas en tomber raide-mort comme intellectualistes, intellos, intellectuelles,

en un mot Zombis ou Zombières, cela tient de l’Amoureux-Fou et du Fou-Amoureux ?

AMOUREUX,OK,mais DE qui, de quoi ? THAT IS THE QUESTION.

QUEL Est le mobile du crime, dirait un certain holmes

avec cet accent Tellement pur jus, in,

proche Et Si eloigne DU gentleman congolais et colonial ?

 

Ah ! ces Belgicains savent-ils qu’ils vendent depuis la deuxième indépendance du Congo, celle de Patrice Emery Lumumba, le 30 juin 1960, soit 46 ans déjà,

à tire larigot la Belgitude de Claude Javeau , Sociologue, Pierre Mertens, Ecrivain, Baudouin 1er, Roi, sans en toucher les dividendes ni payer les droits intellectuels dévolus à tout logiciel, toute invention brevetée à ses heureux propriétaires ?

Tôt ou tard, la facture arrivera  et il faudra payer.

Que diront-ils à la facture ces Z’intellectuels Zombis et leurs Zombières ?

Qu’elle aille se faire voir, entendre, sentir, goûter et toucher ailleurs ?

Chez ? Chez quoi ? Pourquoi ? Comment ?

Quand même pas chez mon Rire, Ma Larme ou Mon (L)arme ou encore mon Sou-Rire ?

Non, ce n’est pas sérieux, même pas fou :

un mandat d’arrêt international du juge français Brouguière courre déjà contre eux ?

Est-ce que çà va vraiment bien la tête le Tonton Macoute belge ?

Si non passe la main, au Ndombolo.

Une telle enquête ne touche rien. Elle accouche et les résultats se constatent.

Voilà mon invitation au voyage, à la découverte et à la création.

Le VOICI, le voilà, c’est Du hola en dix commandements.

 

1.  

Pour exorciser l’ire du rire et catharsiser la larme d’un sourire.

 

2.  

Pour dire moi-aussi : j’ai été, j’ai vu, j’ai dit, j’ai fait et j’ai convaincu.

 

3.  

Pour informer le Congo que les trois mots qui lui sont chers, ont horreur du rire, des pleurs et du sourire. Ce drame est un défi à relever.

 

 

Pourquoi ?

La justice croit sincèrement que le premier, le rire, se paie sa tête.

Son innocence et sa bonne foi atteignent dans leurs cris et sons une telle hauteur que la vérité, la vérité de la loi,

de leurs lois, comme affaires jugées et à juger devant les tribunaux, ne fait pas le poids.

C’est une concurrence déloyale.

Pour une multinationale comme la vérité se faire battre dans son  domaine, par K.O., par un étranger, est étrange.

 

Le travail pense objectivement que les pleurs ne sont rien d’autre qu’une belle excuse

inventée par les travailleurs, paradoxalement et contradictoirement par les patrons et légitimée par l’Etat,

soit trois acteurs sur les cinq présents,

rien que pour le rendre étranger à lui-même, l’aliéner pour encore mieux l’esclavagiser. 

Qu’est-ce qu’une larme de femme placée au Cac 40, à la bourse, les bourses masculines, dans ces conditions ?

Un virus qui fait flamber ipso-facto les cours. Et qui touche en congés payés et autres de maladies ?

Les mêmes. Et qui risque de se retrouver en redressement judiciaire ou pire, en faillite, faute de compétitivité, flexibilité et autres défauts en matière de productivité ? Le même.

Alors, l’étranger c’est qui ? C’est toujours le même : l’autochtone ou par défaut l’autochtone allochtone.

Il y a là tout le mystère de l’étrangeté de l’étranger.

 

Et le mot « Paix » dans cette galère.

Qu’est-ce qu’une Naine Trigocéphale, sa représentante et sa représentation,

selon notre illustratrice Dan Gaël, vient-elle y faire ?

Il y a là tout le mystère de l’inconnu, du congolais parallèle et du belge parallèle.

Gardons-le au frais. Et si je l’oublie reconnaissez-le : un inconnu est un in-connu. Pas PLUS MOINS.

 

4.  

Pour informer la Belgique que sa devise, l’union fait la force, s’est tellement exportée que quand elle enchante « reviens, tu nous manques, léopold Ô ..  », en revenant au pays, en Belgique metropolitaine,  elle-même se méconnaît. la Belgique d’outre-mer, le congo, en 120 ans de colonisation eclairée et de sous-developpement comme marche interieur belge, aurait-elle comme tout ngando, crocodile qui serespecte, mangé  son ame, mue sa belle peau blanche en noir, comme sa langue,le flamand, son cri de guerre, goodverdomme, en congolais et en congolia-ma « KOT-FORDOUM » ?  Ce drame est le défi à révéler.  

 

5.  

Pour ne plus faire passer des vessies pour des lanternes, exiger d’yeux et d’oreilles qu’en toute liberté ils croient que les z’enfants du bon dieu zeus le blanc et son double l’homme masculin, le el machos, sont en droits et en devoirs semblables, comparables, egaux  sur la ligne de départ d’une coursede vitesse, les 100 mètres plats, aux z’enfants du malin, du grand malin le nègre etson eternelle nana,la Femme, la mère,la sœur.  Pour toute information utile s’acheter le livre à compte d’auteur de Louis Bacon Edite en 1620 et s’intitulant « l’imprimerie, la poudre à canon et le  compas.  SON Ratio doscendi vous apprendra A conter, donc comme un jeu, que la modernité europenne  ne nait pas au 18ème  siècle en angleterre ni au 19ème  sur le continent. Grace aux ingenieurs, les architectes en sont, et aux usines. c’est en langage marKeting la logique technique qui se montre. Elle est la poudre aux yeux parce qu’elle répondent elle-même à une autre , du meme monde : la logique de besoin. C’est elle qui les invente tous les trois, ingenieurs,  usines et techniques, parce qu’elle trouve pour elles un segment, pas un creneau, dans le grand marché qu’est toute offre et toute demande.  Siouplait, et Les  belges comme  blancs, jus blancs à boire, a sucer, leurs congolais loirs comme bons et beaux negros, les vrais, legumes frais à cuire, rotir, assaisonner, en un mot manger,  que deviennent-ils dans cette jungle équatoriale ? Quel est ou quels sont leurs parts de marché ? Que sont leurs champs, pas leurs chants,  d’activités, en un mot qui sont-ils,  que font-ils,  d’ou viennent-ils, que veulent-ils et où vont-ils ? 

 

 

Voilà comme procureur, représentant personnel du ministère public, c’est-à-dire de la folie et du désordre au sein de l’empire du silence de O.P. GILBERT, celui-ci date de 1948 et a appartenu à Léopold II, le premier belge parallèle, le premier congolais, le premier nègre-blanc, le premier chef d’un Etat du premier  Etat nègre indépendant (Haïti date de 1890 et le Congo de 1885) et le premier blanc candidat volontaire a un passage transversal et immanent plus que réussi,  celui du blanc en noir sans cesser un instant de demeurer un homme, un blanc et un homme blanc ( Pour info se payer le moniteur belge du 2 mai 1885 classé sous le sceau du secret « secret défense.»)

Pour toute autre clef ou clé  sur le sujet, tel le Dogme de la Transsubstantiation, consulter le Conteur-Médiologue  Maurice Boyikasse Buafomo. Ses droits z’intellectuels, physiques et mystiques, non sur l’invention,  mais le brevet qui jusque là avaient  été concédées  à l’Eglise Catholique Romaine pour une utilisation industrieuse et industrielle, comme bon père de famille, dans toute messe,  n’opèrent ni n’obtempèrent en conscience. L’absence de clients sérieux et de consommateurs jeunes en particuliers a requis l’inconscience nécessaire d’une restructuration et la reprise en main du procédé par la maison-mère, le conseil d’administration,  le verbe, mais sa perpétuation, c’est le cas ici grâce à la république, ma République royale et populaire du Congo,  j’en suis l’empereur démocratiquement élu urbi et orbi. Voilà comme procureur livré mes cinq actes d’accusation.

 

Lu, relu, par lui-même, l’Auteur-Auditeur Maurice Boyikasse Buafomo,

De Profession Conteur-Médiologue

En Fonction Souverain et

Chef d’Etat de la République Royale et Populaire du Congo

Du Dimanche  17 Décembre 2006 jusqu’au Boutisme et au Boutiste de trois mots phares :

Les noms communs « Rire, Larme et Sourire »,

Les verbes Rire, Pleurer et Sourire

Certifié conforme, sincère et véritable

 Par lui-même, sauf …

Signé le mardi 19 décembre 2006 à 17 H 42 secondes et 5 tierces Sur Square de Léopoldville et Vue sur le Parc du Square de Léopoldville. 

M.B.B/Aime-Bé-Bé


6.  

 

7.  

 

8.  

 

9.  

 

1. 


Pour exorciser l’ire du rire et catharsiser la larme d’un sourire.

Pour dire moi-aussi : j’ai été, j’ai vu, j’ai dit, j’ai fait et j’ai convaincu.

Pour informer le Congo que les trois mots qui lui sont chers, ensemble,

2. 

3.parce que

4.parce que

5.parce que

6.parce que

7.parce que

8. parce que

 

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